Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le petit blog du grand écran
le petit blog du grand écran
  • Critique de films, analyse, clips (my chemical romance, the dresden dolls, The killers...), court-métrages, ce blog fait aussi la part belle au meilleur de la télévision en ce moment : les séries (Dr house, 24h chrono, Dexter, Desperate housewives, The los
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
le petit blog du grand écran
4 juillet 2007

Prison break

prisonbreak_narrowweb__300x507_0Prison break saison 2 c'est pour très bientôt sur M6, occasion rêvée de faire le point sur le première saison d'une série populaire et grand spectacle...Alors qu'est-ce qu'elle a vraiment dans le ventre ???

Premièrement, faudrait bien se dire une chose, la meilleure série télé sur le milieu carcéral est Oz, sommet de dureté de violence et d'âpreté face à laquelle Prison break n'arrive pas à la cheville. Alors oui c'est vrai on pourra me rétorquer que le but n'est pas là, Prison break n'ayant pas grand chose à voir dans son approche et son récit par rapport aux aventures de Michael Scoffield. Mais ce qui gonfle royalement dans Prison break est quand même son manque de cojonnes, ça vise et brasse le public le plus large possible et du coup ça sent quand même la grosse aseptisation générale. Et le milieu carcéral prison breakien est quand même assez mou dans l'ensemble, oui je sais le but c'est l'évasion ... le reste à peu d'intêret mais quand même !

Autre problème majeur : la longueur. En 22 épisodes, la série à largement le temps de proposer des suspenses approximatifs, avec certes des climax de malades en fin d'épisodes, mais dans l'ensemble il faut bien avouer quand même que la crédibilité de l'ensemble passe joyeusement à la trappe, et c'est bien le plus regrettable.

Côté casting, Wentworth Miller s'en sort avec les honneurs même si sa palette d'émotions reste quand même peu développée, Dominic Purcell est infiniment moins ridicule qu'en Dracula dans Blade Trinity (mais faire pire est un défi impossible à relevé !) et reste dans une interprétation correcte mais sans plus.  C'est véritablement sur les seconds rôles que les acteurs sont excellents. Abruzzi campé par le trop rare et toujours excellent Peter Stormare, Robert Knepper excellent dans le rôle du pédophile assassin T-bag, Wayde Williams Bellick le maton pourri jusqu'a la moelle est peut être le plus juste de tous les acteurs.

Malgré ses erreurs de construction gavantes (la série est produite par le génialement crétin Brett Ratner le réalisateur des grands Rush Hour ! qui ne doit pas être étranger au pire des éléments de Prison break), la série parvient à être attractive, n'allons pas jusqu'à dire addictive tout de même ! En ayant recours à des thèmes comme la peine de mort, la théorie du complot, et le projet d'évasion, la série se met dans la poche le spectateur sans trop de difficulté pour lui proposer un spectacle agréable et rythmé, mais qui il faut être hônnete aurait pu être infiniment plus réussi.

LA SAISON 2

Lors du premier épisode, on se retrouve comme à chaque fois là où on en était resté, Scoffield, Burroughs, Abruzzi, T-bag, Sucrey, et le militaire black sont dehors traqué par Bellick et ses hommes (l'épisode s'appelle Manhunt, c'est pas pour rien !). Le Dr Tancreddy elle se retrouve à l'hôpital pour une overdose, Veronica l'ami d'enfance et avocate retrouve le frère de la désormais présidente, tout ce qu'il y a de plus vivant, et se fait abbatre comme une merde.

Dans la catégorie nouveau personnage, un super agent du FBI qui se lance à la poursuite de Scoffield et ses acolytes, le duel entre les deux s'annoncent explosifs !

Peter_Stormare_Abruzzi Pope prison_break_agent_FBI_intello prison_break_Burroughs prison_break_T_bag prison_break_wade_williams_alias_bellick Sarah_wayne_Callies

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité